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C’est une phase qui semble évidente : comment espérer créer quelque chose si on ne l’a pas rêvé / imaginé auparavant ?
En entreprise, on nomme cette étape le brainstorming (remue-méninges). Cela consiste à énoncer toutes les idées qui nous viennent en tête, y compris celle qui nous paraissent les plus absurdes.
Ce faisant, on essaye ainsi de neutraliser le filtre rationnel qui nous murmure « attention, cette idée est trop idiote pour pouvoir fonctionner ».
Ce qu’on peut noter d’intéressant ici, c’est l’aspect « jeu » que revêt cette activité. Le jeu est souvent considéré comme une composante importante de la créativité.
On ne se prend pas trop on sérieux, on s’amuse mais au final, on stimule tout de même sa créativité.
Le but ici est de multiplier les idées afin de dépasser notre esprit critique. L’idéal est d’en émettre un minimum de 50 à 100 pour disposer d’une bonne base de départ.
Une fois la liste d’idées en main, il s’agit de se poser la question de leur réalisation. Mais là encore, il faudra s’imposer d’exclure toute réflexion ou critique en ce qui concerne leur pertinence.
C’est précisément à ce stade que la technique de Robert Dilts est capitale. Ce qu’il préconise, c’est de s’attacher à la question de la réalisation, du « comment faire » avant de rationaliser sur la pertinence du projet.
C’est l’observation qu’il a faite : les aspects pratiques priment sur la question de la pertinence chez les esprits les plus créatifs qu’il a pu observer. D’ailleurs, la spontanéité n’est-elle pas l’expression la plus pure de la créativité?
Souvenez-vous, je vous en parlais déjà dans l’article concernant les 5 ennemis de la créativité (et comment s’en débarrasser) ! Une trop grande dépendance en la logique et une rationalisation à excès étouffent votre créativité et tuent vos idées dans l’œuf.
Une fois les deux étapes précédentes réalisées vient l’heure de la critique et du choix. C’est lorsque vous avez accumulé suffisamment d’idées et que vous les avez débattues que vous pouvez les passer sous le prisme du regard critique.
La critique objective est bien sûre nécessaire car on ne bâtit pas de grandes choses sans se reposer sur un minimum de concret.
Là où la voie enseignée par Dilts est originale, c’est qu’il conseille de prendre d’abord de la distance avec le rationnel pour y revenir par la suite. Grâce à cela, on peut trouver des idées originales, des solutions que l’on se serait refusé inconsciemment.
Et vous, connaissiez-vous la PNL et ses applications ? Et que pensez-vous de l’approche de Robert Dilts concernant la créativité ?
Dites-moi tout ça en commentaires, votre avis m’intéresse !
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